découvrez le programme du Festival Pint of Science 2022 !

Les sciences sociales et les nouvelles technologies, quesako ?

➔ Mardi 10 mai 2022 de 19h à 21h

➔ Dans le club "La Douche Froide", 11 Rue des Augustins à Metz

Au travers des exemples de la psychologie sociale et des sciences de l’éducation, vous découvrirez comment les sciences sociales sont essentielles au domaine des nouvelles technologies.

 

Parlons peu, parlons sciences sociales

Avec Manon Balty (Doctorante à PErSEUs - Psychologie Ergonomique et Sociale pour l'Expérience Utilisateurs // Université de Lorraine)

L’humain, cet être social ! Vous avez tous des relations sociales avec d’autres personnes, vous faites tous partie d’un groupe (amis, famille, …), vous avez tous été en situation d’apprentissage un jour ! Mais alors comment la science s’intéresse à ces phénomènes et que peut-on en dire ? Vous serez initié aux sciences sociales à travers deux domaines scientifiques : la psychologie sociale et les sciences de l’éducation.

 

L’Education, un espace oublié des nouvelles technologies ?

Avec Pierre Cario (Ingénieur logiciels à l'Université de Lorraine), Stéphane Faedda (Doctorant à PErSEUs, Université de Lorraine) et Stéphanie Fleck (Maîtresse de conférences à PErSEUs, Université de Lorraine)

Vous cherchez une alternative au bon vieux papier/crayon dans le monde de l’éducation ? Mais vous n’êtes pas adepte du « tout numérique » ? Pourquoi ne pas mélanger les deux et inventer des technologies qui favoriseraient l’apprentissage par la manipulation de données numériques à travers des objets physiques ? C’est en 1997 que des chercheurs conceptualisent ce genre de dispositifs à travers les interfaces utilisateurs tangibles. Mais qu’en est-il de leur intégration dans le monde de l’Education ?

 

Les réseaux sociaux nous rendent-ils malheureux ?

Avec Alexandra Masciantonio (Docteure, attachée temporaire d'enseignement et de recherche à PErSEUs, Université de Lorraine)

Nous passons en moyenne plus de deux heures par jour sur les réseaux sociaux. Cette omniprésence questionne : Instagram, Facebook ou encore Snapchat peuvent-ils nous rendre malheureux ? Et si la réponse était plus complexe qu’il n’y parait ?

 

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Protéger l’environnement, une mission impossible ?

➔ Mercredi 11 mai 2022 de 19h à 21h

➔ Dans le club "La Douche Froide", 11 Rue des Augustins à Metz

Qui ne s’est jamais senti concerné par la protection de l’environnement , même un tout petit peu ? Le réchauffement climatique, les diverses pollutions (plastiques, chimiques & Cie) sont au cœur de bien des problématiques actuelles. Et la science dans tout ça, elle fait quoi ?

 

SOS pollution : des scientifiques à la rescousse

Avec Elsa Salles et Ludovic Faravel (Doctorants au LIEC - Laboratoire Interdisciplinaire des Environnements Continentaux // Université de Lorraine - CNRS)

L’écotoxicologie est la science qui étudie les effets et le devenir des polluants dans l’environnement. Des pollutions futures à celles bien connues, les scientifiques qui travaillent dans cette discipline ont pour ultime mission d’apporter leur aide pour protéger l’environnement. Mais comment étudie-t-on l’impact d’un contaminant sur l’environnement ? Et concrètement, à quoi ça sert ?
Venez le découvrir à travers un exemple d'étude menée au Laboratoire Interdisciplinaire des Environnements Continentaux de Metz.

 

Dialogue avec les plantes

Avec Kevin Cianfaglione (Docteur, attaché temporaire d'enseignement et de recherche au LIEC)

On pense souvent à la pollution des lacs, des rivières et des océans… mais qu’en est-il des sols ? Est-ce aussi problématique de polluer la terre que l’eau ?
Ne vous y trompez pas, ici on va surtout parler botanique ! Qu'il s'agisse des arbres, des petites plantes sauvages ou domestiquées et même des pelouses, cette végétation pousse dans les sols. Chaque plante a ses préférences et ses exigences, et si on sait s’y prendre, elles peuvent nous livrer de précieuses informations ! Mais alors, les plantes peuvent-elles nous aider à protéger l’environnement ?

 

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Transports électriques : quels défis pour demain ?

➔ Lundi 9 mai de 19h à 21h

➔ chez MicroBrasserie & Compagnie (MBC), 20 rue P. Dreyfus Schmidt à Belfort

En voiture pour une soirée électrique ! Au programme, des recherches souvent méconnus sur nos moyens de transport électriques. Train ou voiture, avec un fil ou une batterie, ils nous transportent depuis des décennies ou envahiront prochainement notre vie.

 

Liaison à haute tension !

Avec Théo Kziazyk (Doctorant en Systèmes multiphysiques à l'Institut FEMTO-ST)

Théo étudie un couple un peu particulier et très compliqué. Entre eux, il y a de l'orage. Le courant passe en général bien, là n'est pas le problème. C'est plutôt une affaire d'usure. Oui, il s'use et des fois ça casse... C'est aussi une question de température car entre eux, ça peut aussi chauffer ! Pourtant, ces deux tourtereaux sont collés-serrés : ils n'ont pas besoin d'espace au contraire ! Alors, caténaire et pantographe, qu'est ce qui cloche dans votre train-train ?

 

De toute façon, les batteries ça pollue !

Avec Clotilde Robert (Doctorante en Efficacité énergétique chez GAUSSIN et l'institut FEMTO-ST)

Je parie que la plupart d'entre vous a déjà entendu cette phrase ! Mais alors que faire ? Voiture électrique, hybride ou est-ce que je garde mon bon vieux thermique ? Rassurez-vous, la réponse n'est jamais simple ! Pour mieux comprendre, Clotilde vous propose d'aller faire un tour au cœur des mines où l'on extrait les précieux matériaux de nos batteries.

 

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L'hydrogène dans tous ses états !

➔ Mercredi 11 mai de 19h à 21h30

➔ Dans le bar "Jungle", 1 rue des capucins à Belfort

On en parle beaucoup, l'hydrogène est souvent présenté comme un vecteur énergétique d'avenir. Mais quel impact peut-il avoir dans nos vies et dans notre quotidien ? De quelles manières peut-on l'utiliser ? Au cours de cette soirée, trois exemples concrets seront explorés. 

 

Le plein d'hydrogène s'il vous plaît !

Avec Raphaël Gass (Doctorant en Automatique à l'Institut FEMTO-ST et au LIS)

L'hydrogène a le vent en poupe ces dernières années. Il s'invite dans nos voitures, nos trains ou encore nos vélos et pourrait nous propulser au quotidien. Malgré de nombreuses apparitions médiatiques, les technologies derrière son utilisation restent floues et les enjeux seulement abordés en surface. On vous propose de faire le point autour d'un verre et de vous fonder votre propre avis sur ces nouvelles technologies.

 

L'hydrogène au secours des îles françaises ?

Avec Agnès François (Doctorante en Énergétique à l'Institut FEMTO-ST)

D’où vient l’électricité consommée sur les îles françaises aujourd'hui ? Majoritairement de l’importation de ressources énergétiques fossiles, un des principaux moteurs de la crise climatique. Et si l’hydrogène pouvait nous aider à s’en détacher ? Direction l’île de beauté et les outremers pour le découvrir !

 

Stocker et brûler de l'hydrogène, une alternative au gaz russe ?

Avec Stéphan Santoni (Doctorant en Énergétique chez General Electric et l'Institut FEMTO-ST)

L'utilisation des énergies renouvelables ne cesse d'augmenter, mais que faire lors des phases de non production ? Aujourd'hui on brûle des énergies fossiles, comme le pétrole ou le gaz. Et si on brûlait de l'hydrogène à la place ?

 

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Au bar "L'Arche"

 

Le sport, une histoire de cerveau et de société

➔ Lundi 9 mai de 19h à 21h30

Notre société est souvent très cloisonnée, mais heureusement une bande d’irréductible punk résistent encore et toujours à l’uniformité. Des sports comme le parkour, le béhourd, le roller derby, ou encore le quidditch sont de plus en plus en vogue dans les milieux des loisirs alternatifs. Alors, comment ces activités sont liées et que nous apprennent-elles sur nous en tant qu’être humain?

 

Le parkour : les singes savants envahissent la ville !

Avec Sidney Grosprêtre (Maître de conférence)

Le parkour consiste à utiliser le mobilier urbain comme terrain de jeux. Nous parlerons neurosciences et sports urbains et découvrirons les effets d’une telle activité sur le cerveau. Car le franchissement d’obstacles ne fait pas travailler que les muscles !

Les pratiques alternatives : les punks du sport ?

Avec Audrey Tuaillon Demésy (Maître de conférence)

Que peuvent avoir en commun un « vif d’or » et une épée médiévale ? C’est à cette question qu’il s’agira de répondre, selon une perspective sociologique, à partir de l’étude de loisirs alternatifs

 

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Des souris d'ordinateur aux souris de laboratoire

➔ Mardi 10 mai de 19h à 21h30

Lorsqu’il s’agit de médicaments, l’investigation et la collaboration sont la clé d’une recherche fructueuse. De nombreux outils visant à découvrir de nouvelles molécules naturelles ou synthétiques sont développés dans nos laboratoires. Ainsi, les chercheurs ne cessent de passer de l’ordinateur à la paillasse pour repousser les limites du connu et développer des traitements plus pointus pour toujours aller vers une médication plus appropriée. 

 

De multiples partenaires à la recherche de l’affinité, clé de la découverte de nouveaux médicaments ?

Avec Marc Pudlo (Maître de conférence)

L’activité d’un médicament est une histoire d’affinité entre molécules. Cette aventure passionnante fait appel à la collaboration entre de multiples chercheurs. Nous vous proposons de nous suivre sur ce chemin entre molécules naturelles et synthèse organique avec un exemple comtois de recherche académique.

Des molécules virtuelles pour des médicaments bien réels

Avec Bruno Cardey (Maître de conférences)

Depuis les années 90, les stratégies de Drug Design (conception de nouveaux médicaments) ont été profondément modifiées par le développement des méthodes de simulations physico-chimiques. Nous vous proposons ici un petit tour d'horizon de l'apport de ces nouvelles techniques, illustré par des exemples concrets de recherches menées ici à Besançon.

 

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La médecine du futur

➔ Mercredi 11 mai de 19h à 21h30

La recherche médicale ne cesse d’être en pleine expansion avec de nouveaux médicaments prometteurs qui nourrissent l’espoir d’une amélioration du soin en continu avec la volonté de guérir de maladies incurables. En effet, les chercheurs explorent aussi bien les voies de l’infiniment petit (nanomédicaments), les formes médicamenteuses innovantes que les traitements non pharmacologiques.

 

Les médicaments de demain, made in Besançon

Avec Thomas Antoine, Thomas Stalder, Wassim El Basset (Doctorants)

Au sein de notre équipe de recherche, différentes formes pharmaceutiques innovantes composées de nanoparticules sont élaborées.
Parmi celles-ci, certaines libèrent de l’ARN afin de concevoir un vaccin contre le cancer, d’autres, peuvent accroître l’efficacité de la radiothérapie et de la chimiothérapie.
Des formes médicamenteuses à base de gels sont également étudiées afin d'assurer la cicatrisation de l’intestin lésé lors d’une inflammation.
Ces innovations thérapeutiques donnent ainsi lieu à de nouveaux traitements contre des maladies parfois difficilement guérissables à l’heure actuelle.

Évaluation des bénéfices et des risques des thérapies de demain

Avec Célian Peyronnel (Doctorant), Raphaël Cornu (Post-doctorant) et Taghrid Zaiter (Doctorante)

Aujourd'hui la recherche médicale se concentre sur le développement d'approches thérapeutiques innovantes. Outre une validation de leurs capacités thérapeutiques, ces approches qui peuvent être médicamenteuses ou non nécessitent une étude rigoureuse de l'ensemble de leurs effets sur l'organisme. Dans ce contexte, notre équipe s'intéresse plus particulièrement aux effets de traitements non pharmacologiques comme l'activité physique et la cryothérapie locale sur le système cardiovasculaire, mais étudie également la potentielle toxicité de nanoparticules utilisées comme nanomédicaments ou additif

 

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Au café de L'Hermitage

 

Le monde du traitements de surface et des matériaux

➔ Lundi 9 mai de 19h à 21h30

La Franche-comté est la région du traitement de surface des matériaux !!! C'est simple, on n'y pense pas. Il y en a partout (aéronautique, automobile, horlogerie..etc.) et nous n'y prêtons que très peu souvent attention. Toute une science se cache derrière ces simples mots que nous vous invitons à découvrir. 

 

Aluminium, titane, quand le traitement de surface devient couleur

Avec Rémy Viennet (Maître de conférence)

Aluminium et titane sont deux métaux très utilisés et forment naturellement, à leur surface, une couche d’oxyde qui a des propriétés anti-corrosion. L’anodisation permet de reproduire cette couche d’oxyde qui, selon les conditions opératoires, aura une couleur différente.

L'électropolissage : comment le courant électrique peut-il remplacer la toile émeri ?

Avec Marie-Laure Doche (Maître de conférence)

L’électropolissage est un traitement de surface qui consiste à plonger le métal en tant qu’anode dans un bain d’électrolyte afin qu’il se dissolve. Il s’agit d’une méthode de dissolution qui nécessite du courant mais pas d’outil et qui permet d'obtenir une surface lisse et brillante avec un rendu très esthétique.

Et si on fonctionnait avec des électrolytes non cyanurés?

Avec Amina Dridi (Docteur en chimie)

Dans les traitements de surface, la galvanoplastie consiste en le dépôt d’une couche de métal sur une pièce et ce, par un moyen électrochimique. Le traitement de surface permet d’accroître de manière considérable les propriétés d’un produit, qu’elles soient esthétiques ou techniques. Néanmoins la plupart des électrolytes utilisés dans les traitements par voie humide sont à base des cyanures.

 

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Un environnement dégradé, des hommes pour tout réparer ?

➔ Mardi 10 mai de 19h à 21h30

La production de déchets a toujours été l’apanage de notre espèce. Entre pollution minière témoins de notre passer et accumulation pollution due aux plastiques, les impacts dévastateurs sur la faune, la flore ainsi que sur tous les écosystèmes de la planète se font ressentir.

 

Déchets anciens, Pollutions d'aujourd'hui

Avec Flavien Choulet (Maître de conférence)

Les activités minières et métallurgiques anciennes ont laissées des traces dans les milieux naturels actuels par l'accumulation de déchets industriels à l'origine de modifications durables des paysages et de transfert de métaux dans les différents compartiments de l'environnement.

 

Les microplastiques dans les sols : sources, niveaux de contamination et risques environnementaux.

Avec Frédéric Gimbert (Maître de conférences)

Avec près de 10 milliards de tonnes de plastique produit à ce jour, nous sommes rentrés dans une nouvelle ère, celle du plastique, dont les fragments s’accumulent dangereusement dans les écosystèmes. Moins visibles que les gros débris, les « petits » microplastiques (<1 mm) et les nanoplastiques (<1 µm) sont néanmoins tout aussi, voire plus, préoccupants dans la mesure où leur petite taille leur confère des propriétés physico-chimiques particulières, facilitant leur transport, leur rétention dans les milieux et leur transfert dans les organismes et les chaînes alimentaires. Durant la dernière

 

Chimie et écologie: vraiment inconciliables ?

Avec Jérôme Husson (Maître de conférences)

Dans l'esprit du grand public, le mot chimie a une connotation négative. Chimie et environnement seraient opposés... Grâce à quelques exemples choisis, nous verrons comment la chimie peut participer au respect de l'environnement.

 

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L’Humain face à la nature, du Groenland à nos jardins

➔ Mercredi 11 mai de 19h à 21h30

Aujourd’hui plus que jamais, notre rapport à la nature est totalement chamboulée. Le changement climatique a accentué cette proximité car, ces changements globaux se font de plus en plus ressentir. Il est quand même difficile de comprendre ou le naturel devient humain.

 

S'adapter à l'Arctique : chasseurs et agriculteurs du dernier millénaire au Groenland

Avec Pr. Emilie Gauthier (Professeure en archéologie et paléoenvironnement)

Comprendre les évolutions culturelles ou les stratégies d'adaptation est un exercice complexe et dans une démarche pluridisciplinaire de rétro-observation combinant écologie, archéologie, analyses paléo-environnementales et anthropologie sociale, nous tenterons de comprendre ces enjeux à travers l'étude de cas particuliers : les chasseurs de la côte Est et les éleveurs de moutons du sud du Groenland.

 

Les mauvaises herbes, la pratiques du jardinage et le rapport homme-nature

Avec Kan Shen (Doctorant en sociologie et anthropologie)

La montée des préoccupations environnementales en Occident est susceptible de modifier notre rapport à la nature, opposant l'homme à la nature.
Au cours de ce développement de notre rapport à la nature, je m'intéresse particulièrement aux plantes. À partir d' un intérêt accordé à la transformation de la représentation liée aux "mauvaises herbes" et de la pratique du jardinage accompagné, je tente de dévoiler l'état actuel du "naturalisme classique" en matière jardinière, pour ensuite y repérer des relations à portée sociale avec ou/et à travers les plantes.

 

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Au café "Les passagers du zinc" (Soirée 100% anglophone)

 

Voyage au pays des microns

➔ Mercredi 11 mai de 19h à 21h30

Voir ce que l'oeil ne peut pas voir, sauvegarder un souvenir de ce que nous avons vu... Les progrès technologiques nous ont permis de dépasser notre capacité à observer et même à enregistrer des images en haute résolution. Mais que ce passe-t-il lorsque ce que nous voulons voir est infiniment petit ? Et si au lieu d'avoir plusieurs photos on avait une représentation 3D qu'on pouvait faire pivoter à volonté ? Les chercheurs de ce soir nous aideront à répondre à ces questions.

 

Améliorer la façon dont les images médicales sont obtenues

Avec Nahashon Osinde (Doctorant à l'institut Femto-ST)

Les images médicales ont été habituellement acquises par balayage de haut en bas (trame). Cependant, dans le but d'obtenir des images médicales de qualité et dans un court laps de temps, des motifs comme la spirale et la fleur sont intéressants à utiliser. Dans cet exposé, j'expliquerai comment tirer parti de ces schémas "amusants" pour acquérir des images de haute qualité sur une machine médicale. 

Medical images have been conventionally acquired through top to bottom (raster) scanning. However, in a bid to obtain quality medical images and within a short period of time, patterns like the spiral and flower are interesting to use. In this talk I'll explain how to leverage these 'fun' patterns in acquiring high quality images on a medical machine.

 

Reconstitution 3D du pollen

Avec Yucely Beb Caal (Doctorante à l'institut Femto-ST)

Un modèle 3D permet de connaître plus de caractéristiques d'un échantillon comme sa profondeur et son épaisseur. A cause de la petite taille de certains échantillons, le microscope électronique à balayage est utilisé pour en obtenir des images. Dans cet exposé, je présenterai une application de reconstruction basée sur l'auto-étalonnage et des tests avec des images de nombreux échantillons (biologiques, géologiques et artificiels).

A 3D model allows knowing more characterisctics of a sample like its depth and thickness. Due to the small size of some samples, the scanning electron microscope is used to acquire images. In this talk, I will present an application of 3D reconstruction based on self-calibration and tests with images of many samples (biological, geological and artificial).

 

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